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أحمد لطفي سليماني

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التخصص: الهندسة المعمارية

الجامعة: جامعة محمد طاهري بشار

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الخبرات العلمية

  • L'attractivité touristique comme levier de dynamisation économique des territoires sahariens

الأبحاث المنشورة

L'attractivité touristique comme levier de dynamisation économique des territoires sahariens

المجلة: RIACT

سنة النشر: 2021

تاريخ النشر: 2021-10-04

Le Sahara algérienne est le plus grand désert au monde, le plus riche et le plus diversifié, sur le plan gisements touristiques. Le tourisme saharien représente une émergence d’une originale ressource territoriale fondée sur le développement de tourisme au Sahara. Le désert saharien du sud d’Algérie, possède des atouts naturels et véritable levier d'attractivité et un moteur pour l'économie du territoire. Cet article décrit les conditions historiques très importants et un patrimoine architectural et culturel riche diversifié est ainsi devenu un haut-lieu mondial du tourisme. Ce tourisme saharien fait peser la menace d’une banalisation des ressources qui ont fait la spécificité et le succès de cette destination touristique. En effet, le développement d’une stratégie touristique adaptée peut-être un moyen pertinent de valorisation et d’accroissement des investissements, stratégie qui s’inscrit dans une démarche de valorisation culturelle et économique.

76 Images de marque et mise en tourisme des patrimoines de Kenadsa au Sahara d’Algérie

المجلة: RIACT

سنة النشر: 2021

تاريخ النشر: 2021-10-04

Dans un contexte de crise économique, l’Algérie développe, ces dernières décennies, des nouvelles stratégies orientées vers le tourisme à la recherche de nouveaux axes d’attractivité. Elle concourt à la définition et la mise en scène de l’image touristique de son vaste territoire, notamment de sa grande partie du Sahara (SDAT, horizon 2030). Cette fraction du pays pétrie de richesses et de valeurs caractérise un contraste frappant entre ses grandes possibilités touristiques et la faiblesse de leur mise en valeur : un cadre géographique incontournable mais hélas méconnu et très peu investi. Dans cette optique, le présent article propose le redéveloppement des valeurs de l’exemple de la ville saharienne de Kenadsa par la construction d’image d’une destination touristique basée sur ses activités de promotion et ses paysages visibles. Il détermine dans quelle mesure l’image communiquée peut-elle contribuer aux enjeux de l’attractivité de la ville et se demande comment le tourisme pourra s’y inscrire durablement pour participer à la transformation contemporaine de ses patrimoines ? La méthode employée s'inspire d’une démarche d’approche contemporaine de la mise en tourisme, mobilisant des documents historiques, des discours des individus et des créations architecturales engagées. Et comme les interventions sur un bâtiment historique révèlent autant le rapport identitaire de la société avec son histoire que celui avec le monde contemporain, la méthodologie combine alors l’analyse des discours, ainsi que l’analyse de l’architecture et de sa représentation

Mougheul …patrimoine & histoire.

المجلة: ENAU Tunis

سنة النشر: 2010

تاريخ النشر: 2010-10-12

L’Algérie, ce pays avec une grande surface qui regroupe plusieurs civilisations et cultures des différentes phases et périodes de l’histoire, tels que les berbères, les romains, les vandales, les phéniciens, les musulmans…etc. Ce contexte a favorisé la présence d’une richesse patrimoniale matérielle et immatérielle répartie d’une façon non équilibrée sur le territoire nationale mais avec une logique chronologique merveilleuse, nous racontant les secrets de MEZGHENA (l’Algérie) jadis ! Certes, les travaux d’arrache pied continueront toujours afin de mettre en exergue cet héritage et de le classer dans la liste du patrimoine de l’humanité, mais posons une simple question : SOMMES-NOUS EN MESURE DE VALORISER CE PATRIMOINE ET DE LE LEGUER A NOS DESCENDANTS ? La réponse ne semble pas évidente, car il n’est pas encore temps de répondre avant de faire un diagnostic détaillé, traçant une nomenclature de tout le patrimoine national avec ses dégradations et ses remèdes ; Avant de sensibiliser la société pour protéger ce qui représentent son identité et sa mémoire. Ce travail se propose avec une lecture analytique d’un type de notre patrimoine dit le KSAR DE MOUGHEUL ; tout en de sa situation géographique et territoriale, son parcours dans la ligne chronologique, sa composition ethnique et sociale, ses différentes potentialités et de proposer pour en finir un processus pour le classer dans la liste nationale du patrimoine voir même mondiale ; la démarche suivie dans cette recherche tend à présenter un tel héritage qui mérite d’être pris au sérieux pour le préserver aux générations futures, avant qu’il s’en aille avec l’écoulement des grains de sable. La problématique du patrimoine ksourien est que la logique qui construisait les Ksour nous parait différente de celle qui composait les médinas ou les citadelles, car les dissemblances sur les plans : social, économique, historique et urbanistique sont larges et marquantes. Notre problématique s’articule autour d’une analyse appropriée aux ksour qui traite ses espaces spécifiques d’une manière originelle s’adaptant aux données locales. Les ksour offrent aux chercheurs des mosaïques vivantes pleines d’informations sur leurs habitants, leurs histoires et leurs évolutions et mutations. Mais leurs composantes sont liées fortement aux paradigmes de religion, de tribu, de force et de concession, quant aux médinas les composantes se réfèrent aux politiques du palais royal et aux contraintes de guerres et d’économie.

La Syntaxe spatiale comme outil de réconciliation avec le patrimoine colonial, cas de la ville de Béchar

المجلة: 2 ND INTERNATIONAL SPACE SYNTAX WORKSHOP URBAN OPEN SPACES BISKRA -ALGERIA

سنة النشر: 2020

تاريخ النشر: 2020-12-02

Les villes algériennes souffrent aujourd'hui de plusieurs problèmes urbains, causés principalement du grand héritage de l'époque coloniale qui a duré 132 ans. Cette période avait marqué l'urbanisation du pays par la création massive des grands ensembles issus de la pensée progressiste en architecture et urbanisme. Parmi ces grands ensembles, la cité SELIS fut construite en 1958 à Béchar (sud-ouest de l'Algérie), un quartier de 232 logements conçus, à l'origine, pour les officiers français venus s'installer en famille [1]. Puis ce fut l'occupation de cette cité par des Algériens (après indépendance) qui, malheureusement, n'ont pas su approprier ses espaces urbains ! A la suite de l'expansion urbaine de la ville de Béchar vers les années 1990 la cité SELIS se trouvait toujours dans la limite en contact avec les deux cités avoisinantes à savoir la cité Djihani (ex 220 logements) et la cité « Barga » aux côtés sud et est, tandis que le côté nord fait face aux dunes. Avec ses huit barres implantées sur une distance de 600m et parfaitement orientées sur l'axe nord-sud, le quartier présente un exemple de l'urbanisme progressiste de l'époque. La spécificité des grands ensembles remet en cause la qualité d'usage de leurs espaces notamment urbains à cause de l'échec de l'urbanisme progressiste [2] et l'apparition de nouveaux modes de vie. Cette situation a énormément participé au processus de dégradation de la cité SELIS en matière d'espaces